Jules est allé chercher un esprit rétro, en chinant du bon côté des yéyés : Dutronc et Nino Ferrer, dont il reprend d’ailleur brillamment “Mon copain Bismarck”. La pochette de son dernier album, inauguré en fanfare au Divan du monde, à Paris, mardi 19 mars, en atteste : il porte bien le sépia et la bakélite lui sied à merveille. – La gazette du Val d’Oise
Inspiration d’une des pochettes de Nino Ferrer, développement d’une esthétique vintage et texturée.
Photo : Dominique Chauvin